L’A460
porte dans son nom
toute une lignée d’Alpine gagnantes.
900 kg sur la balance et coque en carbone, elle affiche le profil dynamique d'une voiture carrossée pour la compétition.
Fidèle à la philosophie Alpine, elle offre un package unique (agilité, moteur, chassis, aéro) qui met son pilote en confiance et lui permet d’atteindre les meilleures performances.
Conçue
pour endurer
Protégé des turbulences
dans son nouvel habitacle fermé, le pilote jouit d’un confort et d’un aérodynamisme optimisé. Idéal pour les long runs comme pour les pointes de vitesse à près de 330 km/h dans les lignes droites du Mans.
vitesse max
le moteur
Inchangé, le moteur Nissan V8, 4,5l, 550 CV allie fiabilité et performance. Il est associé à une boite de vitesse séquentielle à 6 rapports aussi réactive qu’explosive.
Nelson Panciatici, 27 ans
Prénommé ainsi en hommage à Nelson Piquet par un père rallyman, il ne pouvait échapper
à son destin. Choisi par Signatech-Alpine
dès 2013, l’enfant prodige confirme son talent
et décroche 2 titres en ELMS.
Nicolas Lapierre, 31 ans
Il n’a pas 20 ans quand il remporte la coupe intercontinentale de F3 à Macao avec l’équipe de Philippe Sinault. GP2, GT1, LMP1, vainqueur 2015 au Mans en LMP2...
Son expérience en endurance est inestimable.
Nouveaux prototypes,
deux nouvelles équipes
et le championnat du monde d’endurance LMP2 en ligne de mire...
le défi est de taille. Nicolas Lapierre
ne prend pas ce prologue à la légère :
« On est là pour se jauger,
se faire respecter, ça fait partie du jeu. » Nelson Panciatici sur la 35 et Stéphane Richelmi sur la 36 entrent en piste. Dans le paddock, le balai des mécanos, rapide, précis, est parfaitement rodé. Après quelques tours, arrêt au stand. Sept experts sous leurs cagoules ignifugées mettent l’auto à nu pour tester une nouvelle configuration. Ajustement des amortisseurs, équilibrage des freins, traction control, paramétrage de la boîte de vitesse… Check ! Le pilote saute dans l’habitacle et repart.
A l’arrière, bat le cœur névralgique d’Alpine. Les écrans d’ordinateurs affichent courbes et données techniques. Chacune est analysée, puis transmise à l’ingénieur d’exploitation en liaison radio directe avec le pilote. Nelson Panciatici entre, en nage et sourire radieux. Aussitôt, il débriefe avec son coéquipier David Cheng. Un regard complice, une tape sur l’épaule. Nicolas Lapierre, grand frère de l’équipe 36, visionne avec Stéphane Richelmi son run en camera embarquée. Concentré, Bernard Ollivier se réjouit des excellents chronos enregistrés par les Alpine : « Ce ne sont que des tests, mais c’est bon pour moral des troupes. »
A l’arrière, bat le cœur névralgique d’Alpine. Les écrans d’ordinateurs affichent courbes et données techniques. Chacune est analysée, puis transmise à l’ingénieur d’exploitation en liaison radio directe avec le pilote. Nelson Panciatici entre, en nage et sourire radieux. Aussitôt, il débriefe avec son coéquipier David Cheng. Un regard complice, une tape sur l’épaule. Nicolas Lapierre, grand frère de l’équipe 36, visionne avec Stéphane Richelmi son run en camera embarquée. Concentré, Bernard Ollivier se réjouit des excellents chronos enregistrés par les Alpine : « Ce ne sont que des tests, mais c’est bon pour moral des troupes. »
MARIE DERREY TOURRES
journalisteDPPI
photographieGIANMARCO MAGNANI
illustrations